Citation de Lucien Boyer

Ne tuez pas le goéland Qui plane sur le flot hurlant Ou qui l'effleure, Car c'est l'âme d'un matelot Qui plane au-dessus d'un tombeau E... - Lucien Boyer

Ne tuez pas le goéland Qui plane sur le flot hurlant Ou qui l'effleure, Car c'est l'âme d'un matelot Qui plane au-dessus d'un tombeau Et pleure... pleure !

Lucien Boyer

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Or l'art, c'est l'idée de l'oeuvre, l'idée qui existe sans matière.

Aristote

La culture contemporaine est, en première approximation, nulle.

Cornelius Castoriadis

L'enseignant est celui qui suscite deux idées là où auparavant il n'y en avait qu'une seule.

Elbert Green Hubbard

Le mariage, c'est comme le menu des restaurants : il faut attendre la digestion pour savoir si on a fait le bon choix.

Elizabeth Taylor

Il ne faut pas dire qu'un acte froisse la conscience commune parce qu'il est criminel, mais qu'il est criminel parce qu'il froisse la conscience commune.

Emile Durkheim

L'amour est une poésie en action.

Honoré de Balzac

Pour le contrepicquer d'un pareil traict de moquerie, il feist une chanson à l'imitation de la sienne.

Jacques Amyot

La poésie est une force de commencement ; et une grande force : la dynamite qui soulève et arrache le rocher.

Jean Giono

Chaque livre a son point faible, comme chaque homme a un derrière.

Jean Paul

Un critique ne doit jamais hésiter à se rendre ridicule.

Jean Paulhan

Raison sans sel est fade nourriture, - Sel sans raison n'est solide pâture. - De tous les deux se forme esprit parfait ; - De l'un sans l'autre un monstre contrefait.

Jean-Baptiste Rousseau

L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir.

Jean-François Jonvelle

La cornemuse sonne exactement de la même façon après dix ans de pratique que le premier jour où vous en avez joué.

Oliver Herford

Je suis l'objet, comme toute la nature, comme tous les animaux, d'une lente action de destruction qui ride, qui dégrade, qui entaille, qui ravine ce qui était jusque-là frais, jeune et neuf.

Valéry Giscard d'Estaing

Aristote, qu'on a expliqué de mille façons, parce qu'il était inintelligible...

Voltaire