La contemplation du corps de la femme doit être une réponse rassurante à l'angoisse du monde.
Lucien Clergue
Nos vices ont leurs fonctions : la gourmandise remonte l'horloge ; la lâcheté nous conserve ; la vanité et l'avarice nous font faire avec plaisir diverses corvées utiles à la conservation, à l'entretien et au nettoyage du globe que nous habitons.
Alphonse Karr
Les socialistes ont progressé. Ils sont passés de la gauche paillette à la gauche paillotte.
André Santini
Ma famille m'a appelé une queue agitée parce que j'étais un petit enfant maigre, nerveux et plein d'énergie.
Diana Ross
La lumière est l'une des composantes nécessaires à la vie ; sans elle, on s'éteint, on se dissocie. Je me rends compte à quel point la chaleur d'un rayon, d'un sourire, me manque.
Franck Thilliez
Un sourire, à peine, une silhouette, un filigrane dans une page barbouillée.
Georges Borgeaud
Le diable est pur parce qu'il ne peut faire que le mal.
Jean Cocteau
L'homosexualité n'est pas un délit, mais elle constitue une anomalie biologique et sociale.
Jean-Marie Le Pen
Arrêter de fumer brusquement peut provoquer des troubles de la perception. Aux Etats-Unis ils ont voté Bush.
Kad Et Olivier
Quelle est la différence entre un curé et un arbre de Noël ? Aucune : dans les deux cas, les boules, c'est pour décorer.
Les Nuls
Qui sert, n'est pas libre ; Qui sent n'est pas mort ; Qui désire, veut : Qui veut, mendie ; Qui mendie fait défaut au divin contentement.
Marguerite Porète
Un grand péché ne peut demeurer caché.
Proverbe Français
Les gens difficiles à aimer représentent un défi, et c'est ce défi qui les rend plus faciles à aimer. On y est poussé. Ceux qui veulent d'un amour facile n'ont pas vraiment envie d'amour.
Rachel Kushner
La sagesse est ce qui nous manque le plus ; manque à nos psychologues, à nos romanciers ; au théâtre. Un brin d'ivraie prend la hauteur d'un sequoia.
Robert Kemp
Les mouvements qu'il venait de faire avaient ravivé au creux du dos ces escarres qui le brûlaient comme un fer rouge.
Roger Martin du Gard
Ci-gît qui toujours babilla, Sans avoir jamais rien à dire ; Dans tous les livres farfouilla, Sans avoir jamais pu s'instruire, Et beaucoup d'écrits barbouilla, Sans qu'on ait jamais pu les lire.
Voltaire