Elle retrouva son air de bonté, son air de bonté renseignée comme l'écrivait Péguy à propos de Lazare, c'est-à-dire non pas cette bonté des innocents et des simplets, non pas la bonté des anges ni des saintes nitouches, mais la bonté désabusée, la bonté clairvoyante, la bonté qui sait la nuit des hommes et la surmonte, qui tente à tout le moins de la surmonter