Citation de Malorie Blackman

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Aimer, c'est être vulnérable, et il ne faut jamais se rendre vulnérable.... - Malorie Blackman

Aimer, c'est être vulnérable, et il ne faut jamais se rendre vulnérable.

Malorie Blackman

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Explorer les Citations

Chaque membre de l'espèce a besoin des autres pour s'accomplir. Pour faire un homme, il faut des hommes.

Albert Jacquard

Cannes, c'est d'abord un escalier : un escalier facile à monter... difficile à descendre.

Claude Lelouch

Toujours la même histoire : quand c'est à soi qu'on en veut, ce sont les autres qui morflent.

Daniel Pennac

Nous ne savons pas, mais au moins nous savons de mieux en mieux ce que nous ne savons pas : telle est, en substance, la vraie sagesse scientifique dont le prolongement rejoint sur l'horizon intellectuel cette Folie persévérante évoquée par William Blake.

Georges Picard

Toujours, quand l'affection commence, le drame commence.

Henry de Montherlant

Notre véritable ennemi n'est pas celui dont les opinions nous scandalisent, mais celui qui suspecte la sincérité des nôtres.

Jean Rostand

C'est là le fond de la joie d'amour, lorsqu'elle existe : nous sentir justifiés d'exister.

Jean-Paul Sartre

Oh Dieu, Harriet, nous sommes mariés depuis si longtemps que j'oublie parfois que toi aussi, tu as des émotions.

John Fante

Celui qui, au départ, insiste pour savoir où il va, quand il part et par où il passe n'ira pas loin.

Napoléon Bonaparte

Alors, pris de désespoir, je me suis dis qu'il était impossible d'exprimer avec des mots l'histoire, et même la vie !

Orhan Pamuk

Le cheval est un animal dangereux aux deux bouts et inconfortable au milieu.

Proverbe Anglais

Il pousse plus de choses dans un jardin que n'en sème le jardinier.

Proverbe Espagnol

Qui a mal à la tête ne se panse pas le doigt.

Proverbe Marocains

L'absence de libido figure dans la liste des troubles psychiatriques... L'asexualité est pour les psychiatres un quatrième sexe.

Thomas Abercorn

En feuilletant le livre de la vie de l'être qu'on aime, on n'ose trop parvenir au mot de la fin.

Umar Timol