Je haïssais le travail de la retouche. Jamais je ne m'en suis tiré. Je ne voyais pas la nécessité de boucher ces points, rides et pattes, de rajeunir des figures toutes différentes, jamais vivantes. Quand je tombais sur le portrait d'une connaissance, je lui souriais. J'étais prêt à l'embellir, celle là !