Citation de Marian Anderson

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Les préjugés sont comme un cheveu sur la joue. Vous ne pouvez le voir, vous ne pouvez le toucher, mais vous essayez toujours de l'en... - Marian Anderson

Les préjugés sont comme un cheveu sur la joue. Vous ne pouvez le voir, vous ne pouvez le toucher, mais vous essayez toujours de l'enlever car c'est une sensation irritante.

Marian Anderson

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Je plains ceux qui ont l'air intelligent ; c'est une promesse qu'on ne peut tenir.

Alain

Tout n'est pas perdu quand on a fait une grosse bêtise. Il reste a en tirer vanité.

André Birabeau

Comme symbole d'effronterie et d'impertinence, il faudrait prendre la mouche. Tandis que tous les animaux, en effet, craignent l'homme au-dessus de tout et le fuient déjà de loin, la mouche, elle, se pose sur son nez.

Arthur Schopenhauer

L'auto a mis les adjas, le portail s'est refermé.

Frédéric Dard

L'avarice est un esclavage permanent.

Hazrat Ali

Hommes legers et dispos, accoustumez de gravir aux montagnes.

Jacques Amyot

C'est quand on comprend qu'il n'y a rien à casser qu'on commence à devenir un homme. On vit très bien avec une douleur, vous verrez, une fois que la connaissance est faite. On lui découvre des subtilités, des replis. On en devient le spécialiste.

Jean Anouilh

Si Jésus était mort empalé plutôt que crucifié, il n'y aurait plus que les paratonnerres sur les églises.

Jean Yanne

Pour descendre en nous-mêmes, il faut d'abord nous élever.

Joseph Joubert

Le travail accroît tous les biens d'ici-bas.

Ménandre

Le rêve est la preuve qu'imaginer, rêver ce qui n'a pas été, est l'un des plus profonds besoins de l'homme.

Milan Kundera

On trahit un coeur qui aime vraiment, on ne le trompe jamais.

Paul Bourget

Une théorie scientifique est bien développée si n'importe quel imbécile peut l'exploiter avec succès.

René Thom

... une maladie bien américaine : l'interventionnisme.

Robert Merle

Le malheur des uns fait le bonheur des autres.

Voltaire