Citation de Marie Bashkirtseff

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Le fatalisme est la religion des paresseux et des désespérés. Je suis désespérée et je vous jure que je ne tiens pas à la vie.... - Marie Bashkirtseff

Le fatalisme est la religion des paresseux et des désespérés. Je suis désespérée et je vous jure que je ne tiens pas à la vie.

Marie Bashkirtseff

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Ce qui est vrai, c'est ce qui réussit.

Alain

Le visage change, l'identité est fragile, l'amour se transforme, la maison peut se craqueler, l'éternité est un rêve, la durée un idéal.

Alice Ferney

Que voulez-vous ! reprit la tête d'une voix triste. La vie, c'est un tiroir-caisse, on y trouve ce que l'on y met. Le soir on compte la caisse, et on va se coucher.

Claude Duneton

La Demoiselle : Ne dites jamais : c'est bien dommage. Dites : c'est plutôt dommage. Il ne faut jamais parler ni écrire comme on lit. - Le Monsieur : Ou vice versa. Pour employer le passé simple.

Eugène Ionesco

Et meure Pâris ou Hélène, Quiconque meurt, meurt à douleur Telle qu'il perd vent et haleine ; Son fiel se crève sur son coeur, Puis sue, Dieu sait quelle sueur !

François Villon

La marche est un exercice qui perd de son attrait quand on le pratique en poussant une tondeuse.

Gary Fletchall

L'imbécillité humaine est un bien curieux spectacle.

Georges Courteline

La femme vieillit plus vite que l'homme, mais elle met plus de temps à mourir.

Jacques Canut

Le grand nom de Pompée assure sa conquête : c'est l'effroi de l'Asie ; et loin de l'y chercher, c'est à Rome, mes fils, que je prétends marcher.

Jean Racine

La finalité du voyage lointain est-elle sa destination ou serait-ce avant tout, l'espoir ?

Jean-Michel Calvez

Qui cherche la perfection obtient l'excellence.

Jori Cazilhac

Notre petitesse est accablante.

Laurent Graff

Toute la harde, étroitement serrée, frémissait en renâclant. Elle pivota brusquement sur elle-même : d'autres bêtes arrivaient au galop, biches et cerfs pêle-mêle, les yeux fous, se heurtant dans leur course et soufflant à pleins naseaux.

Maurice Genevoix

La bêtise n'est pas mon fort.

Paul Valéry

De la pluie le premier jour de mai, - Ote aux fourrages de la qualité.

Proverbe Français