Citation de Marina Kaye

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Je tomberai forcément, mais je me relèverai. Les plus beaux destins ont souvent eu de grosses embûches sur leur passage.... - Marina Kaye

Je tomberai forcément, mais je me relèverai. Les plus beaux destins ont souvent eu de grosses embûches sur leur passage.

Marina Kaye

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Elle a vu le sang qui tachait largement le côté de la capote ; mais le docteur l'a rassurée, affirmant que cela ne voulait rien dire quant à la gravité de la blessure.

Alain Robbe-Grillet

Les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore.

Aldous Huxley

Je suis très prudente avec mes émotions. Si je suis contrariée, c'est généralement pour une raison très bonne et très profonde.

Angelina Jolie

L'argent est comme la foule qui s'entasse dans le café où il y a foule et déserte le café d'en face, non parce qu'on y est mal servi, mais parce qu'il est vide.

Auguste Detoeuf

L'écrivain qui possède le don de création possède quelque chose qu'il ne maîtrise pas toujours, quelque chose qui parfois, agit et décide étrangement par lui-même.

Charlotte Brontë

Les autres ne cherchent pas plus loin que ce que vous leur donnez à voir. Mis à part ceux qui vous aiment.

Christine Orban

Je ne suis pas un animal ! Je suis un être humain ! Je suis... un homme !

David Lynch

J'ai de la France, moi aussi, une certaine idée.

François Mitterrand

Athée : Un peuple d'athée ne saurait subsister.

Gustave Flaubert

La création a toujours besoin de hasard.

Jacques Godbout

L'expérience du bonheur est une chose épouvantable. Elle apprend que la vie ne pèse pas.

Jean Anouilh

Ce triste abaissement convient à ma fortune.

Jean Racine

Je vous ferai remarquer que je vais avoir vingt-quatre ans. Avez-vous espéré que je resterais toujours fille ?

Pierre Benoit

On mesure les tours par leur ombre et les grands hommes par leurs envieux.

Proverbe Chinois

Si j'eusse parlé vers 1795 de mon projet d'écrire, quelque homme sensé m'eût dit : "Ecrivez tous les jours pendant deux heures, génie ou non." - Ce mot m'eût fait employer dix ans de ma vie dépensés niaisement à attendre le génie.

Stendhal