Citation de Martha Medeiros

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Maintenant je comprends que je chérissais la solitude parce que je croyais me connaître suffisamment. Seuls, nous ne faisons que nou... - Martha Medeiros

Maintenant je comprends que je chérissais la solitude parce que je croyais me connaître suffisamment. Seuls, nous ne faisons que nous préserver. Notre véritable existence ne se vérifie qu'à travers les autres.

Martha Medeiros

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Comme on vit mal avec ceux que l'on connaît trop. Comme on vit mal avec ceux qu'on ne connaît pas du tout. Comme on vit bien avec ceux que l'on ne connaît pas trop.

Alain

L'amour est une bonté sublime.

Alfred de Vigny

Les sots sont un ennemi toujours supérieur en nombre.

Alphonse Karr

Je rentre pour le breakfast : porridge, thé, fromage ou viande froide, ou oeufs.

André Gide

Tous les hommes se ressemblent si fort qu'il n'y a point de peuple dont les sottises ne doivent nous faire trembler.

Bernard Le Bouyer de Fontenelle

Je rêve d'une prison dont toutes les portes des cellules sont déverrouillées, les gardiens sont en fuite, les couloirs ouvrent sur la mer.

François-Emmanuel Tirtiaux

C'est soi-même qu'on abîme le plus, quand on fait souffrir quelqu'un.

Frédéric Beigbeder

Dans les mots croisés comme avec les humains, on arrive toujours à la fin.

Graham Greene

J'aimais profondément ma vie et je sus à l'instant même où je le gagnais que cet argent allait tout abîmer, et pour quoi ?

Grégoire Delacourt

Fruit sec des concours, il regrettait Paris, et c'était la conscience de sa vie manquée qui lui donnait un air morose.

Gustave Flaubert

Seul Dieu peut nous introduire dans le mystère de Dieu.

Jean Daniélou

Il écrivit au pasteur dont la salope était paroissienne, et fit en sorte d'assoupir l'affaire...

Jean-Jacques Rousseau

Pour maintenir notre amour en vie, il nous faut être souples et nous adapter aux changements continuels des saisons de l'amour.

John Gray

Le train, l'automobile du pauvre. Il ne lui manque que de pouvoir aller partout.

Jules Renard

Deux valent mieux qu'une : celui qui a écrit cela ne connaissait pas mes soeurs.

Samuel Butler