Dans la vie, seul, le pognon l'intéresse. Elle a une vraie passion pour l'oseille et malgré qu'elle soit devenue millionnaire, tapiner c'est finalement toute sa vie.
Martin Rolland
J'aimais tant la dispute, que j'arrêtais les passants, connus ou inconnus, pour leur proposer des arguments.
Alain-René Lesage
Ce que nous recherchons, c'est le fruit défendu. Sans lui, le Paradis n'est pas pour nous le Paradis.
Alexandre Pouchkine
L'homme et la femme ne s'entendent si mal que parce qu'ils habitent la même maison.
Alexandre Vialatte
Quand je joue avec mon chat, qui sait si je ne suis pas pour lui un plus grand passe-temps que lui ne l'est pour moi.
Anonyme
La mémoire vous joue des tours, elle tend à transformer en souvenir ce qui n'est qu'un savoir, une image devenue si intime qu'on la prend pour sa vie réelle.
Camille de Toledo
Un combat de titan ne dit pas que vous serez gagnant en usant de tout et du temps... Mais s'y opposer à se battre quand cela est nécessaire, c'est se refuser d'en être vainqueur ne serait-ce qu'un court instant...
Descrea
Pendant sa carrière militaire, il a souvent eut des couilles au cul... - Mais il faut bien avouer que ce n'était pas toujours les siennes !...
Georges Clemenceau
Un homme politique, c'est un homme qui te promet un pont, même quand il n'y a pas de rivière.
Gregory David Roberts
Le voilà délivré des maux de la vie et, comme disait Fontenelle, de la difficulté d'être...
Jean Le Rond d'Alembert
Le désir est une conduite d'envoûtement.
Jean-Paul Sartre
Le passé est fait pour se vivre, puisqu'il a été notre présent.
Lauréanne Harvey
La foi peut se traduire par le simple fait de faire quelque chose plutôt que de désespérer.
Michel del Castillo
"Comprendre" la prose, c'est saisir les idées qui la commandent. "Comprendre" un poème, c'est être envahi par l'inspiration qui en émane.
Michel Tournier
A seize ans, j'aimais les filles. Comme j'étais beau, elles me le rendaient bien. Cela dura jusqu'au jour où je m'aperçus que leur plaisir ne ressemblait pas au mien.
Pierre Herbart
C'est en lisant qu'on devient liseron.
Raymond Queneau