Citation de Mary Higgins Clark

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La vérité est que je déteste les cocktails quand la seule personne que je connaisse est mon rendez vous supposé, et il m'abandonn... - Mary Higgins Clark

La vérité est que je déteste les cocktails quand la seule personne que je connaisse est mon rendez vous supposé, et il m'abandonne dès que nous passons la porte.

Mary Higgins Clark

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La conversation, d'abord grêle et menue, s'enfla, se prolongea en un murmure confus sur lequel s'éleva la voix de Garain.

Anatole France

A quoi sert un coeur qu'on n'use pas ?

Capucine Ruat

Les amoureux fervents et les savants austères Aiment également, dans leur mûre saison, Les chats puissants et doux, orgueil de la maison, Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires.

Charles Baudelaire

L'on peut acquérir les billets sur la place, moyennant tant pour cent.

Honoré de Balzac

Comme les rêves d'un malade.

Horace

Je ne suis pas jalouse. Je ne l'ai jamais été. Je ne suis pas assez soumise pour ça. Nos indépendances se défient et se respectent.

Jean-Philippe Blondel

Un rêve que vous rêvez seul n'est qu'un rêve.

John Lennon

La contrainte, autant que la liberté, est partie intégrante de notre identité humaine.

Nancy Huston

La force même de la démocratie est peut-être sa prétendue faiblesse, cette désorganisation qui est telle, parfois, qu'il paraît impossible de mobiliser ne serait-ce que la moitié de la population pour atteindre un but donné.

Orville Schell

Rien de tel qu'une belle paire de fesses pour redécouvrir les vertus du travail manuel.

Philippe Bouvard

Mieux vaut acheter qu'emprunter. (Quand on n'a pas de quoi payer le loyer de sa maison, on en achète une.)

Proverbe Anglais

Qui n'a pas confiance en autrui, ne l'obtient pas pour soi.

Proverbe Italien

A quoi sert le succès sinon à séduire son père ?

Robert Blondin

Je t'aime éperdument, et je te le dis, et je te le répète, et mes paroles te l'expriment, et mes baisers te le prouvent, et quand j'ai fini... je recommence. Je voudrais recommencer ainsi pendant l'éternité, et chaque soir, je regrette la nuit qui va s'écouler sans toi, et chaque matin, j'en veux au soleil de briller, comme aujourd'hui, quand tu n'es pas dans mes bras.

Victor Hugo

Dieu punit l'homme de ses fautes en le laissant vivre.

Xavier Forneret