La République n'est qu'une monarchie absolue, car peu importe que le souverain s'appelle Prince ou peuple : l'un et l'autre sont une "Majesté".
Max Stirner
C'est la beauté de la démocratie de faire que le pouvoir tienne compte de l'opinion, mais c'est la misère de la démocratie d'être soumise au nombre, la moitié plus un. Or la majorité des gens ne se soucie pas du sort des autres.
Abbé Pierre
L'amour n'a d'yeux et d'oreilles que pour ce qu'il veut bien voir et entendre.
Dominique Lévy-Chédeville
Le saxophone parle la langue des bas-fonds, l'argot blasé et mélancolique du demi-jour - sale et sexy et suant et dur. C'est la langue des orphelins, des bâtards et des putains.
Eleanor Catton
Malheur à la nation qui ne se souvient plus de l'histoire de ses pères ! Son histoire à elle touche à sa fin.
Félix Bogaerts
La campagne dort, s'abandonne, se livre au vent du sud, à la pluie orageuse, au soleil, à l'ombre, ne songe à aucune résistance.
François Mauriac
Des vers que sans rougir la vierge puisse lire.
Guillaume de Saluste Du Bartas
La mer ne lâche jamais prise. La mer ne se rend jamais. L'hiver, elle est comme une peau gelée. L'automne est une attente immobile, avec les brusques clameurs des vents volubiles. L'été n'est qu'un reflet fugace dans le miroir de l'eau.
Henning Mankell
Nous attendons du monde, tu mettras tes bijoux, tes bracelets. Quand on est riche, il faut le montrer.
Henry Monnier
La mémoire, une faculté qui choisit.
Laurent Laplante
Aimer d'un amour humain, c'est pouvoir passer de l'amour à la haine, tandis que l'amour divin est immuable.
Léon Tolstoï
Désir. C'est que les hommes traînent en venant au monde et remportent en mourant. C'est pourquoi ils ne sont jamais contents.
Louis Pelletier-Dlamini
Il n'y a d'hommes dignes d'exercer le pouvoir que s'ils ont assez de force d'âme pour le refuser.
Maurice Druon
Le chaud à la Saint-Joseph - L'été sera bref.
Proverbe Français
Juin larmoyeux, - Rend le laboureur joyeux.
Voici deux voleurs. Celui-ci est pauvre, et vole les riches. Cet autre est riche et vole les pauvres.
Victor Hugo