L'homme doit brider ses pulsions dans sa vie en société. Ne pas laisser libre cours à ses désirs. La colère, la peur, la rage, tout doit être canalisé. La guerre, c'est faire sauter les verrous pour tuer sans plus se poser de questions. Et irrémédiablement, les instincts primaires émergent à nouveau. On ne peut dissocier la mort de la vie, la peur du courage, la rage du désir.