Ta grand-mère dit que tu lis beaucoup. Chaque fois que tu le peux. C'est bien, mais ce n'est pas suffisant. Les mots signifient plus que ce qui est écrit. Il leur faut la voix humaine pour leur infuser des nuances plus profondes.
Maya Angelou
Là où se trouve l'esprit d'un homme se trouve également son univers.
Algernon Blackwood
L'intensité d'une amitié, ça vous fait une joie pour mille ans, c'est comme un amour, ça vous rentre par le nombril et vous inonde tout entier. Ça ne se mesure pas en mois.
Anonyme
Toute belle Dame s'étant une fois essayée au jeu d'amour, ne le désapprend jamais, et la continuation lui en est toujours très douce et agréable, ni plus ni moins, que quand l'on a accoutumé une bonne viande, l'on se fâche fort de la quitter.
Brantôme
Les cauchemars ne sont en fait que des rêves, en plus réalistes.
Dimitri Vallat
Les joies de la vie, bois-les toutes une à une !
Françoise Gründ
Ce sentiment continu tient à l'impression vive et profonde que vos chagrins vous ont laissée.
Jean Le Rond d'Alembert
Il faut laisser le hareng à son triste saur !
Marc Hillman
Il y a, entre l'homme d'esprit, méchant par caractère, et l'homme d'esprit, bon et honnête, la différence qui se trouve entre un assassin et un homme du monde qui fait bien des armes.
Nicolas de Chamfort
Ceux qui trouvent de laides intentions en de belles choses sont corrompus sans être séduisants. Et c'est une faute.
Oscar Wilde
Bien que le renard soit rusé, on vend plus de peaux de renards que de peaux d'ânes.
Proverbe Danois
L'esprit ne connaît pas l'heure du destin ni le sort à venir.
Proverbe Latin
(François) entreprit de fabriquer un alambic. Il nettoya une petite bombonne ..., la débarrassa de sa robe d'osier, perça le bouchon, y adapta un tuyau...
René Barjavel
Toi, vieux Gaulois et fils du bon Villon, - Vide ton verre et baise ta maîtresse.
Théodore de Banville
L'art, c'est le relief du beau au-dessus du genre humain.
Victor Hugo
La performance narcissique est une ambition d'image, une compensation de l'impuissance réelle à laquelle nous voue notre travail aliénant.
Vincent Cespedes