Citation de Michel-Ange

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Vers quel but m'éperonne la force d'un beau visage ! Rien au monde ne m'est si grande dilection. Par une telle grâce, à côté de laq... - Michel-Ange

Vers quel but m'éperonne la force d'un beau visage ! Rien au monde ne m'est si grande dilection. Par une telle grâce, à côté de laquelle toute autre me semble médiocre, je m'élève, vivant, parmi les esprits bienheureux.

Michel-Ange

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La liberté de l'esprit est le seul bien, peut-être, qui soit plus précieux que la paix. C'est que la paix, sans elle, n'est que servitude.

André Comte-Sponville

Combien froide est la consolation dans l'adieu ?

Charles Dickens

La honte, c'est le plus beau cadeau qu'on puisse faire à Dieu.

Christine de Rivoyre

Je suis trop égoïste pour ne pas m'intéresser aux autres car ils sont mon avenir.

Gustave Parking

Qui suis-je moi-même : "eux" ou "nous" ?

Ievgueni Zamiatine

Nous apprenons à connaître la culture des autres de la même manière que nous apprenons à connaître le sexe : dans la rue.

Ismaël Reed

Un artiste ne peut attendre aucune aide de ses pairs.

Jean Cocteau

La politesse de l'Anglais, c'est l'impassibilité du visage et de la voix. Il trouve autant d'impudeur à montrer ses émotions qu'en éprouverait une nonne à exhiber ses jambes aux passants.

Jean-Charles Harvey

Marguerite, le veau cloné, est morte : on est en train de cloner des petits pois pour aller avec !

Laurent Ruquier

Molière était un auteur dramatique qui jouait ses pièces. Sacha Guitry est un comédien qui écrit les siennes.

Marcel Pagnol

Une cravate bien nouée est le premier pas sérieux dans la vie.

Oscar Wilde

La terre rend ce qu'on lui donne.

Proverbe Français

Jacques savait d'avance tout ce qu'ils allaient dire ; seule variait la disposition des objections et des arguments, comme celle des pions sur un échiquier.

Roger Martin du Gard

... le jeu d'échecs possède cette remarquable propriété de ne pas fatiguer l'esprit et d'augmenter bien plutôt sa souplesse et sa vivacité.

Stefan Zweig

(Le théâtre) a pour objet d'être le miroir de la nature, de montrer à la vertu ses propres traits, à l'infamie sa propre image, et au temps même sa forme et ses traits dans la personnification du passé.

William Shakespeare