Même dans les élevages mieux tenus, c'était la première chose qui vous frappait, ce caquètement incessant, ce regard de panique permanent que les poules vous jetaient, ce regard de panique et d'incompréhension, elles ne demandaient aucune pitié elles en auraient été incapables, mais elles ne comprenaient pas les conditions dans lesquelles elles étaient appelées à vivre.