Citation de Michel Le Bris

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Il y a fort heureusement encore des poètes magnifiques, des enseignants passionnés, des éditeurs gardiens obstinés de la flamme.... - Michel Le Bris

Il y a fort heureusement encore des poètes magnifiques, des enseignants passionnés, des éditeurs gardiens obstinés de la flamme.

Michel Le Bris

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Est ce que la vie pouvait n'être que ça ? cette succession d'espoirs et de dépressions, l'un faisant toujours oublier l'autre, malgré les années et le peu de sagesse qu'on pouvait en tirer ? Est-ce que c'était possible qu'il n'y ait pas plus ?

Alice Zeniter

A ce grand savant, à ce diagnostiqueur infaillible parlant de sa mort avec cette assurance tranquille, il n'y avait rien à répondre que d'inutiles banalités.

Alphonse Daudet

La fonction primaire de la communication écrite est de faciliter l'asservissement.

Claude Lévi-Strauss

On a beau avoir reçu de l'instruction, si l'on n'est pas bien mis, les gens vous méprisent. Ce n'est pas juste, mais c'est ainsi...

Emile Zola

Les époques difficiles secrètent les mauvaises religions - c'est une loi historique.

Gregory Benford

Le débile soumis à la psychanalyse devient toujours une canaille.

Jacques Lacan

Les enfants vous prennent pour ce que vous êtes et pas pour ce que vous représentez.

Jodie Foster

Assez, c'est bien, mais trop, c'est trop.

Marcel Aymé

Deux européens perdus au milieu de ces maisons aveugles et muettes, sous un soleil torride, ont tôt fait de s'associer.

Maurice Barrès

Les embouteillages, c'est pratique : ça fait une bonne excuse pour arriver en retard.

Michèle Bernier

En amitié, il importe de se fâcher à temps pour n'avoir point à se montrer ingrat.

Pierre Belfond

Lire c'est entendre avec les yeux.

Pierre Léger

La cuisine est devenue un art, une science noble ; les cuisiniers sont de gentilshommes.

Robert Burton

Il y a longtemps que je l'ai compris, l'ignorance est plus dangereuse qu'une grenade dégoupillée.

Valérie Tong Cuong

François Mitterrand pensait avoir perdu l'élection de 1974 suite au débat. Nous en avions parlé tous les deux par la suite et il m'avait confié : "Votre phrase Vous n'avez pas le monopole du cœur m'a déstabilisé, elle m'a coupé le souffle. Ce soir-là, j'ai perdu 300000 électeurs." Un vrai débat peut faire gagner ou perdre, aujourd'hui encore.

Valéry Giscard d'Estaing