A l'époque, je ne savais pas combien la passion était ennemie de l'amour. Je prenais même la passion pour de l'amour. Je pensais que les belles histoires n'avaient vraiment de valeur que lorsqu'elles n'étaient pas possibles ; que le quotidien et son train-train tuent vraiment l'amour. Je ne croyais l'amour possible que dans la passion et ses drames.