Citation de Mustafa Kemal Atatürk

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Le glaive de la Justice frappe parfois les innocents, mais le glaive de l'Histoire frappe toujours les faibles.... - Mustafa Kemal Atatürk

Le glaive de la Justice frappe parfois les innocents, mais le glaive de l'Histoire frappe toujours les faibles.

Mustafa Kemal Atatürk

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Tant d'autres vêtements sont accrochés avec celui-là, accumulés les uns par-dessus les autres, qu'il est difficile de distinguer quoi que ce soit dans l'amoncellement.

Alain Robbe-Grillet

C'est si charmant et si facile de rester comme Dieu vous a faits ! La nature vous a donné un coeur, aimez ! des larmes, pleurez.

Alexandre Dumas

Il n'est nul besoin d'apparence pour aimer. C'est une foi qui accepte de ne pas interroger.

André Langevin

La richesse est un instrument dont on use, et non un dieu que l'on vénère.

Calvin Coolidge

La pub est un vulgarisateur de culture.

Christian Blachas

Un remords vaut mieux qu'une hésitation qui se prolonge.

Henry de Montherlant

Estant bien aisé à cognoistre, quand ce n'eust esté qu'à la beaulté et sumptuosité de ses armes, qui estoient magnifiquement estoffées.

Jacques Amyot

L'homme est ainsi bâti : Quand un sujet l'enflamme L'impossibilité disparaît à son âme.

Jean de La Fontaine

Nos erreurs et nos divisions dans la morale viennent quelquefois de ce que nous considérons les hommes comme s'ils pouvaient être tout à fait vicieux ou tout à fait bons.

Luc de Clapiers

La médiocrité est souvent dans celui qui regarde, non dans ce qu'il croit voir.

Marc Bernard

Amour et fantaisie vont de pair.

Marc Chagall

Aimer, écrire sont les seuls remparts que j'aie trouvés contre l'omniprésence de la mort et de la dépression.

Marie Darrieussecq

L'ambition est non seulement la plus puissante des émotions mais aussi la plus instable.

Norman Mailer

Agriculteur : Survivant d'une autre époque. Ne fait plus pousser que les subvention.

Philippe Bouvard

A deux, on grossit, à un, on s'affine, on s'étire comme une sculpture de Giacometti, tendue à l'extrême, un jeu de matière, une tête et des pieds, la terre et le ciel, au milieu rien.

Tania de Montaigne