Citation de Nina Bouraoui

← Précédent Suivant →
J'ai lu dans un livre d'Hervé Guibert, qu'il y avait des gens malades de leur enfance ; cette maladie s'appelle l'enfance qui sai... - Nina Bouraoui

J'ai lu dans un livre d'Hervé Guibert, qu'il y avait des gens malades de leur enfance ; cette maladie s'appelle l'enfance qui saigne.

Nina Bouraoui

Toutes les citations de Nina Bouraoui →

Explorer les Citations

Le mépris des hommes est fréquent chez les politiques, mais confidentiel.

André Malraux

Nous devons agir, sachant que notre travail sera imparfait.

Barack Obama

Vos enfants ne vous appartiennent pas.

Gibran Khalil Gibran

Crois-nous. Nous ne sommes pas malades, nous sommes sains. C'est le monde qui est malade - malade de chimie et d'efficacité, d'humilité et de bonne volonté.

Ira Levin

Ce ne sont pas les encyclopédies qui gagnent les guerres !

Isaac Asimov

Ah ! l'incertain, le troublant premier jour. On se cherche, on se sent, on se devine, on ne se connaît pas encore et on sait pourtant déjà que cela durera toute la vie...

Jean Anouilh

Un petit sanglot est juste ce que l'on doit entendre des hommes à la veille de l'éternité.

Jean Giraudoux

La vie est une succession de choix qu'il faut savoir assumer ensuite.

Joël Dicker

Ceinte d'astres, la Nuit au milieu de sa course, Vers l'Occident plus noir poussait le char de l'Ourse. Tout se taisait, les monts, les villes et les bois, Les cris du misérable et le souci des rois ; Les Dieux dormaient, rêvant l'odeur des sacrifices.

Leconte de Lisle

Le bonheur est une idée neuve en Europe.

Louis Antoine de Saint-Just

Chercher le gué du temps.

Michel Deguy

La société, qui rapetisse beaucoup les hommes, réduit les femmes à rien.

Nicolas de Chamfort

Un petit pigeon peut apporter de grandes nouvelles.

Proverbe Chinois

Créer un mythe n'est pas plus un mensonge que de labourer un champs.

Raphaël Aloysius Lafferty

La pensée du sacrifice procure à certaines femmes un sombre plaisir.

William Makepeace Thackeray