On représente souvent la littérature comme une pyramide au sommet de laquelle il y a les grands auteurs, ceux qu'on doit absolument lire, puis tous les autres, qu'on peut oublier. Je ne vois pas vraiment les choses ainsi.
Vous jetez la balle au chat, qui calcule mal son élan, exprès, et la laisse rouler sous le fauteuil.
Au contraire, cet autre, abject en son langage, - Fait parler les bergers comme on parle au village.