Citation de O. V. de L. Milosz

← Précédent Suivant →
Le ciel tiède et pâle de la pensive contrée qui s'ouvre devant nous a toutes les fraîcheurs du regard des races primitives, il ig... - O. V. de L. Milosz

Le ciel tiède et pâle de la pensive contrée qui s'ouvre devant nous a toutes les fraîcheurs du regard des races primitives, il ignore la somptueuse tristesse de mûrir.

O. V. de L. Milosz

Toutes les citations de O. V. de L. Milosz →

Explorer les Citations

Voyager pour chercher la sagesse, était un grand mot des anciens ; ce mot n'était pas compris de nous ; ils ne voyageaient pas pour chercher seulement des dogmes inconnus et des leçons des philosophes, mais pour tout voir et tout juger.

Alphonse de Lamartine

Un monde sans fausse note : c'est une utopie qui chante.

Franck Dhumes

Un seul être accapare toutes ses puissances de tendresse ; on n'aime plus personne quand on aime.

François Mauriac

Le plus grand des biens est la volupté des sens ; l'art le plus nécessaire au bonheur est de savoir jouir, et de savoir s'abstenir pour jouir mieux et plus longtemps.

Gabriel Sénac de Meilhan

Les grainetiers estiment qu'ils stockent non pas des graines, mais... de l'optimisme.

Geoff Hamilton

La bonne volonté n'a rien à faire en littérature. Ce n'est jamais en s'imposant des contraintes ou des devoirs que l'on peut écrire.

Gonzalo Torrente Ballester

La littérature, c'est une religion : elle a peu de fidèles ; elle n'a que des prêtres.

Jacques Chardonne

La résignation adoucit nos malheurs.

Jacques-Charles-César Formage

L'homme a peu de chances de cesser d'être un tortionnaire pour l'homme, tant qu'il continuera à apprendre sur l'animal son métier de bourreau.

Marguerite Yourcenar

Il n'est passion qui ébranle tant la sincérité des jugements comme la colère.

Michel de Montaigne

Le reste du temps, c'est de la grosse boustifaille, pas même raffinée, juste histoire de se faire péter le bide avant d'envoyer la sauce à ces d'moiselles, souvent presque mineures.

Mikhaïl W. Ramseier

La mer est la piscine des pauvres.

Philippe Bouvard

Ce sont les parents, ou même les grands-parents, qui parlent de moi, de ce coureur qui n'a jamais gagné le Tour, qui a toujours fini deuxième, alors ça marque, cette histoire d'éternel second, les gens veulent le voir, ce Poulidor.

Raymond Poulidor

Pour gagner de quoi vivre, je ne dispose que des produits dérivés de ma peur.

Roland Topor

Je ne cesse d'envier les physiciens et les mathématiciens qui sont sûrs de leur fait. Moi, je plane, pour ainsi dire, dans les airs. Les faits psychiques semblent non mesurables et le demeureront probablement toujours.

Sigmund Freud