Citation de O. V. de L. Milosz

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Je ne me souviens plus au coin de quelle route Ma vie a déposé le fardeau de l'espoir ; Et j'ai tout vu mourir, la foi comme... - O. V. de L. Milosz

Je ne me souviens plus au coin de quelle route Ma vie a déposé le fardeau de l'espoir ; Et j'ai tout vu mourir, la foi comme le doute, La tristesse du jour comme l'ennui du soir.

O. V. de L. Milosz

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Le talent, c'est le relief donné à la platitude.

Anonyme

Ce sont toujours ceux qui vous suivent qui finissent par vous dépasser.

Anonyme

Quand l'hypothèse est soumise à la méthode expérimentale, elle devient une théorie ; tandis que si elle est soumise à la logique seule, elle devient un système.

Claude Bernard

Le dandysme c'est quelque chose qui vous habite, c'est quelque chose que vous voudriez être...

Dany Laferrière

La télévision est une invention qui vous permet de faire entrer dans votre salon des gens que vous n'aimeriez pas recevoir chez vous.

David Frost

Une femme qu'on laisse seule n'est plus rien.

Eschyle

Si je crois à quelque chose et très gravement, c'est à la frivolité de l'art et aussi bien sûr au plaisir qu'il donne.

François Morellet

L'espoir est le combustible que les hommes brûlent pour pouvoir vivre. Impossible de vivre sans espoir. Mais c'est comme une pièce qu'on jette en l'air. Pile ? Face ? On le saura quand elle sera retombée, pas avant.

Haruki Murakami

A ces mots l'animal pervers - (C'est le serpent que je veux dire - Et non l'homme : on pourrait aisément s'y tromper).

Jean de La Fontaine

On ne peut sauver personne, en fait. On peut tout juste se sauver soi-même.

Julianna Baggott

Il faut être psychothérapeute pour savoir combien il est rare d'obtenir le pardon d'autrui.

Paul Tournier

L'un des aspects le plus humain de l'art dramatique est justement celui de rapprocher les uns des autres les hommes de tout rang et de toute condition.

Pierre Dagenais

Une bonne tête vaut mieux que cent bras.

Proverbe Français

Le semblable habite près de son semblable.

Talmud

A quoi ne contrains-tu pas le coeur des hommes, faim maudite de l'or ?

Virgile