Citation de Oleksander Konysky

Dans une nation vraiment cultivée, personne n'a le droit de priver un homme de liberté de façon arbitraire.... - Oleksander Konysky

Dans une nation vraiment cultivée, personne n'a le droit de priver un homme de liberté de façon arbitraire.

Oleksander Konysky

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Elle était si près de moi que je l'entendais respirer. J'avais envie de me rapprocher encore, mais je me le suis interdit...

Alex Flinn

Les êtres humains n'ont pas grandi en même temps que les institutions issues de leur cerveau. Ce sont surtout la faiblesse intellectuelle et morale des chefs et leur ignorance qui mettent en danger notre civilisation.

Alexis Carrel

La sonnette est branchée sur le robinet de la baignoire et le téléphone sur le verrou des toilettes.

Anonyme

La curiosité intellectuelle est l'un des principaux moteurs de la vie.

Douglas Kennedy

Et toi qui me suis en rampant Dieu de mes dieux morts en automne Tu mesures combien d'empans J'ai droit que la terre me donne O mon ombre ô mon vieux serpent.

Guillaume Apollinaire

Les femmes ont des pressentiments dont la justesse tient du prodige.

Honoré de Balzac

Vivre ensemble, c'est se meurtrir l'un l'autre.

Jacques Chardonne

Les verbes comme chou, genou, caillou, pou, mou, loulou, toutou, coucou prennent un x au pluriel, et se conjuguent à l'instinctif absent.

Jean Genet

Le monde, où chaque être mort ou vivant doit fournir de lui cette preuve ignoble qu'est son corps, n'a pas besoin d'être sauvé !

Jean Giraudoux

Le dard qui empoisonne tous les bonheurs humains : le temps !

Louise Maheux-Forcier

Deux écueils à contourner : la parole de trop et le silence de trop. Les deux ont le même effet désastreux.

Marie-Josée Christien

Tu ne revivras pas, mais il y a ce chemin des mots qui mène un peu plus près de ton sourire ; le souvenir ne te rend pas, mais tu sourds quelquefois de cette folie douce de t'écrire, avec au bout le son-vertige de ta voix.

Philippe Delerm

Le soir, et ce fut pour la première fois de leur vie, il y eut du froid entre la mère et la fille.

Stendhal

Monseigneur, nous faisons un assemblage infâme, j'ai l'habit du laquais, et vous en avez l'âme !

Victor Hugo

O Roméo, Roméo, pourquoi es-tu Roméo ? Renonce à ton père et abjure ton nom ; ou, si lu l'aimes mieux, jure seulement d'être mon amant, et je cesse d'être une Capulet.

William Shakespeare