Le ciel est au-dessus de nos têtes, sombre et bas, semblable à un écran sale sur lequel se disputent d'implacables batailles de nuages. C'est bien à cela que servent nos maisons, à nous protéger de ce ciel menaçant, autrement il aurait pénétré l'intérieur même de notre corps où, telle une petite bille de verre, se tapit notre âme. Si tant est qu'elle existe.
Si mes guerriers doivent combattre, ils sont trop peu. s'ils doivent mourir, ils sont trop nombreux.