Citation de Olivia de Lamberterie

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Un rien m'entame, un rien m'enchante, ai-je coutume de dire. La bonne blague, tout m'entame. Ma tête est folle et pleine d'eff... - Olivia de Lamberterie

Un rien m'entame, un rien m'enchante, ai-je coutume de dire. La bonne blague, tout m'entame. Ma tête est folle et pleine d'effroi.

Olivia de Lamberterie

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Dieu, dans sa bonté, veut qu'un seul moment nous sauve ; encore faut-il que ce moment soit le dernier.

Anatole France

Tout son être respirait un bizarre mélange de fougue et de nonchaloir.

André Gide

A marcher sur une corde raide, on finit toujours un jour ou l'autre par se casser la figure.

Bruno Tessarech

Ne pas se corriger après une faute, c'est là qu'est la faute.

Confucius

La joie n'a pas d'arguments ; la tristesse en possède d'innombrables. Et c'est ce qui la rend si terrible et nous empêche d'en guérir.

Emil Cioran

J'étais le survivant d'une histoire trouble qui nous avait séparés, une histoire douloureuse oubliée à dessein.

Éric Fottorino

La France est en fermentation ; donnera-t-elle du vinaigre ou du vin, on l'ignore encore.

Georg Christoph Lichtenberg

L'histoire universelle est le progrès dans la conscience de la liberté ; - progrès que nous avons à reconnaître dans ce qui en fait la nécessité.

Georg Wilhelm Friedrich Hegel

Le sanglier débusqué fila, suivi des chiens hurleurs, à travers des broussailles.

Guy de Maupassant

La mort fait l'importance de la vie.

Jean-Michel Serveaux

Il y a des infirmités qui disparaissent en s'aggravant. Il suffit de boiter des deux jambes pour que ça ne se voit pas.

Patrick Sébastien

Les révolutions commencent par les avocats, mais elles ne finissent pas par eux.

Pierre-Paul Royer-Collard

A peine avait-il franchi le seuil de la gare que des bras puissants le soulevaient de terre, que trois poutous retentissaient.

Robert Sabatier

On ne devrait jamais faire de promesses dans la vie, au risque de se révéler un jour incapable de les tenir.

Valentin Musso

En vain le monde réel élève ses barrières entre deux êtres qui s'aiment ; habitants de la vie idéale, ils s'apparaissent dans l'absence, ils s'unissent dans la mort.

Victor Hugo