Citation de Olivier Clément

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L'Eros, ce sont les filles et les théories, des planches que l'on jette sur le gouffre... Le relatif se gonfle d'absolu et devient m... - Olivier Clément

L'Eros, ce sont les filles et les théories, des planches que l'on jette sur le gouffre... Le relatif se gonfle d'absolu et devient monstrueux.

Olivier Clément

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Il est bien plus difficile qu'on ne croit de ne pas croire à Dieu.

André Gide

Luke, je suis ton père.

Anonyme

Dans les urnes au moins, le pouvoir ne se perd pas comme par mégarde. Pour le laisser échapper, comme d'ailleurs pour l'obtenir, il faut y mettre du sien - et c'est heureux.

Edwy Plenel

Ce nuage, c'est comme si la plus belle femme du monde vous avait donné rendez-vous dans un endroit connu de vous seul, résumait l'un d'eux, et qu'elle avait oublié de vous communiquer la date.

Fabrice Colin

Dissection : Outrage à la majesté de la mort.

Gustave Flaubert

Je suis entouré de haine, d'une haine qui depuis trente-cinq ans n'a pas désarmé.

Henry de Montherlant

Les peureux sont les adversaires les plus terribles que je connaisse.

Jean Giono

Et c'est la riposte immédiate ! bafouages, brimades, férocités, tractations démones, déversages de torrents de fiente pour que je crève hagard, englouti, sous les opprobes...

Louis-Ferdinand Céline

Tout pour la nuit ! C'est ma devise ! Il faut tout le temps songer à la nuit.

Louis-Ferdinand Céline

Ignore ce que notre époque a de stupide, de vain, de dangereux, de pervers, mais profite de ce qu'elle offre de bon et d'agréable !

Maurice Denuzière

L'homme ne promène pas son chien, c'est lui qui est promené par son chien.

Michel Tournier

Il était une fois un jeune homme qui voulait conquérir l'Elue de son coeur.

Neil Gaiman

L'idée du combat échappe à ceux qui le font. Ils sont condamnés à se battre. Ils se cherchent, ombres et silhouettes ; ils ont besoin de l'autre, pour éteindre une haine, comme le feu a besoin d'eau.

Paul Ohl

De quelque mot profond tout homme est le disciple.

Victor Hugo

Un esprit corrompu ne fut jamais sublime.

Voltaire