Citation de Oprah Winfrey

← Précédent Suivant →
Lorsque vous vous faites un devoir toute votre vie d'aimer les autres, il n'y a jamais de dernier chapitre, car l'histoire se poursuit... - Oprah Winfrey

Lorsque vous vous faites un devoir toute votre vie d'aimer les autres, il n'y a jamais de dernier chapitre, car l'histoire se poursuit. Vous prêtez votre lumière à quelqu'un d'autre, qui éclaire une autre personne et une autre, et encore une autre.

Oprah Winfrey

Toutes les citations de Oprah Winfrey →

Explorer les Citations

C'est une des marques de notre époque qu'il n'y ait plus que les coquins qui aient de la volonté.

Alfred Capus

A quoi sert-il d'exposer une vision du monde si le monde s'en fout ?

Amélie Nothomb

La guerre limite les morts. - Les limite au cimetière...

Charles de Leusse

Quand aux millénaires, c'est un abus d'imposer la naissance du Christ comme repère de quelque temps que ce soit.

Claude Régy

On dit qu'on apprend avec l'expérience : si cela était vrai, la race humaine serait actuellement exempte de toute sottise.

Eric Frank Russell

J'ai appris le français avant d'apprendre l'espagnol.

Eva Longoria

Avoir dû payer pour l'obtenir diminue la valeur des choses. Elles n'ont plus qu'un prix.

François Proust

La jeunesse est une courte erreur, et la vieillesse un long regret.

Henri Duvernois

Si seulement la Bible avait été écrite en Ouganda !

Henry Kissinger

Les riches qui se sont appauvris pour aider les pauvres.

Jacques-Bénigne Bossuet

Tout le monde est honnête d'une certaine manière. Le malheur, c'est qu'il n'y en a qu'une qui est officielle.

Jean Anouilh

Unissons par l'hymen et nos mains et nos coeurs.

Marie-Joseph Chénier

Le signe n'attend pas silencieusement la venue de celui qui peut le reconnaître : il ne se constitue jamais que par un acte de connaissance.

Michel Foucault

Désormais, ce sont les contribuables qui, au nom de la démocratie participative, doivent subventionner les mouvements politiques. On finira par regretter l'époque où des prospères promoteurs immobiliers crachaient seuls au bassinet.

Philippe Bouvard

Un enfant, lisant les épitaphes sur les tombes d'un cimetière, demanda à son père dans quel coin du cimetière on enterrait les méchants.

Robert Sabatier