Citation de Pablo Neruda

← Précédent Suivant →
Pour les rendre humains, les sculpteurs les ont dotés de plaies horripilantes et tout s'est transformé en religion du supplice, en pèch... - Pablo Neruda

Pour les rendre humains, les sculpteurs les ont dotés de plaies horripilantes et tout s'est transformé en religion du supplice, en pèche et souffre, ne pèche pas et souffre quand même, vis et souffre, sans que tu puisses trouver d'issue libératrice...

Pablo Neruda

Toutes les citations de Pablo Neruda →

Explorer les Citations

L'hiver usait et abusait. Il exténuait les corps, les arbres, les plantes et les animaux. Seules les montagnes lui résistaient et même le vent, son grand complice, était dérouté par elles de sa course, venant emboutir les flancs des vallées.

André Bucher

Survit-on à la décision de tuer un père ?

Clara Dupont-Monod

N'est ami ni celui qui cherche toujours l'utile, ni celui qui jamais ne le joint à l'amitié : car le premier, avec le bienfait, fait trafic de ce qui se donne en échange, l'autre coupe le bon espoir pour l'avenir.

Épicure

Autant qu'il ait plu, le sable d'Argelouse ne retient aucune flaque.

François Mauriac

L'homme doit être maître du temps, pas son esclave.

Golda Meir

Gagne de l'argent, d'abord ; la vertu vient après.

Horace

L'avocat s'est défilé ; pris ailleurs. L'argent payé d'avance suffisait parce que l'argent pour les avocats, c'est un peu comme les indulgences, ça produit son effet de loin- z'a-loin.

Jean-Jules Richard

Quand nous enlevons la vie aux hommes, nous ne savons ni ce que nous leur enlevons, ni ce que nous leur donnons.

Lord Byron

Toute créature est pleine de Dieu et est un livre.

Maître Eckhart

Le petit chat est mort.

Molière

Quand on est seul, on n'est responsable de rien. Ni du malheur, ni du bonheur.

Olivier Norek

Défions-nous de notre coeur ; Que toujours l'esprit lui commande.

Ponce-Denis Écouchard-Lebrun

A la Sainte-Reine, - Sème tes graines.

Proverbe Français

Il n'est chère que d'avaricieux.

Proverbe Français

La vie est ainsi faite à coups de petites solitudes.

Roland Barthes