Citation de Patrice Franceschi

← Précédent
Sans doute existe-t-il un Dieu pour les inconscients.... - Patrice Franceschi

Sans doute existe-t-il un Dieu pour les inconscients.

Patrice Franceschi

Toutes les citations de Patrice Franceschi →

Explorer les Citations

Chaque fois que le temps a fait croître un bâton, - Au haut du bâton, l'homme a mis une lance.

Al-Mutanabbi

Je me bat chaque jour contre moi même pour rester une bonne personne, pour rester fidèle a moi même, a mes principes, a mes convictions même si se monde s'efforce jour après jour a me rendre comme n'importe qui... Je sais qu'a la fin je gagnerais.

Anonyme

Il avait beau être un prisonnier heureux, une corde reste une corde, peu importe celui qui la tient.

Arabella Pollen

Trois opérations : voir, opération de l'oeil. Observer, opération de l'esprit. Contempler, opération de l'âme. Quiconque arrive à cette troisième opération entre dans le domaine de l'art.

Emile Bernard

La vie dans l'Entreprise reproduit la cruauté de l'école, en plus violent car personne ne nous protège. Vannes inadmissibles, agressions injustes, harcèlement sexuel et guéguerres de Pouvoir.

Frédéric Beigbeder

C'est ça la perspective du lycée : on ne monte pas pour aller en haut, on monte pour rester en bas.

Georges Coulonges

Mameluks : Ancien peuple de l'Orient (Egypte).

Gustave Flaubert

Il ne faut pas écouter les bruits du monde, mais le silence de l'âme.

Jean-Claude Van Damme

Avoir un but trace la voie.

Lao Tseu

La proximité installe, à la longue, une étrange distance.

Nathalie Petrowski

Le "politiquement correct" est la meilleure chose que l'on ait inventée pour permettre aux imbéciles de l'ouvrir et obliger les gens de bon-sens à la fermer.

Pascal Pigeolet

Le vendredi, les requins catholiques n'ont pas le droit de manger de l'homme.

Patrick Sébastien

L'honneur de vivre vaut bien qu'on s'efforce de vivifier.

Paul Éluard

Celui qui tient un tigre par la queue ne doit pas lâcher prise.

Proverbe Chinois

Toute la poésie cachée qui était en moi s'est réveillée, dans la chaude lumière de ce radieux paysage, je sentais une émotion inconnue m'agiter, c'était le papillon de l'âme qui s'éveillait au fond de sa chrysalide et qui sentait palpiter ses ailes.

Renée Vivien