De son point de vue, ces gadgets ne font que réduire l'homme en esclavage. Il suffit de les observer tous, dans les rames, avec leurs visages collés aux écrans. Avant, les voyageurs lisaient des livres. Maintenant ils font exploser les bonbons de couleur, ils mitraillent des cibles ou s'insultent à distance. Et on nous raconte que c'est le progrès.