Je fais partie de la génération de Coluche et de Gainsbourg, des vraies grandes gueules. Je n'ai jamais été quelqu'un de lisse. Et la télé d'aujourd'hui est une télé de cireurs de pompes et je ne suis pas un cireur de pompes ! Je vis cela comme un chagrin d'amour : on est triste de se quitter mais, après, on se rend compte que ce que l'on vit maintenant est mieux.