La littérature du dix-neuvième siècle est une littérature de science. Cela signifie que le goût de la notation exacte est le trait commun aux maîtres de ce temps.
Paul Bourget
Les pays riches ne sont pas forcément les plus accueillants.
Antoine de Maximy
Le sexe est la seule manière qu'ont les gens de se défouler. Ca, ou se saouler complètement.
Björk
Qui accepte les changements peut vivre jusqu'à cent ans.
Daniel Desbiens
En face de cet arbre que vous voyez là-bas, l'arbre des suppliciés, l'arbre des sacrifices de mes anciens, j'avais pris l'engagement, il y a bientôt trente ans, à ma sortie de l'école, en reconnaissance de tout ce que les Akoués ont fait pour moi, d'offrir d'autres sacrifices, le sacrifice d'amour-propre, le sacrifice d'argent, le sacrifice de moi-même.
Félix Houphouët-Boigny
Soigne-toi toujours bien afin que, dans un mois ... je te trouve plus florissante et plus gaillarde que jamais.
Gustave Flaubert
Ne composez jamais avec l'extrémisme, le racisme, l'antisémitisme ou le rejet de l'autre.
Jacques Chirac
Un prêteur est moins agréable qu'un créancier n'est incommode.
Jean Antoine Petit-Senn
Les maux les plus cruels ne sont que des chansons Près de ceux qu'aux maris cause la jalousie.
Jean de La Fontaine
Le propre du naturel, quand il ne déplaît pas, est au moins d'obtenir grâce.
Jean Le Rond d'Alembert
Ce n'est pas vis-à-vis des autres qu'on feint, c'est toujours vis-à-vis de soi-même.
José Saramago
Celui qui sait se contenter sera toujours content.
Lao Tseu
Il n'y a pas pire châtiment, pire horreur que de transformer un instant en éternité, d'arracher l'homme au temps et à son mouvement continu.
Milan Kundera
L'école m'a sauvé des gangs.
Morgan Freeman
Comme toute bonne secrétaire, elle avait acquis, ou du moins su montrer, des qualités idéalisées d'épouse, de mère, de maîtresse, de confidente, de servante et d'amie sans être, ou sans se croire autorisée à être, rien de tout cela.
P. D. James
Les hommes qui mènent une vie étroite sont toujours curieux de toutes les nouveautés qui passent devant leur porte.
Stefan Zweig