Citation de Paul Claudel

Le voici donc enfin abattu, l'édifice de votre amour-propre ? La voici terrassée, cette Sygne que Dieu n'a pas faite ! Le voi... - Paul Claudel

Le voici donc enfin abattu, l'édifice de votre amour-propre ? La voici terrassée, cette Sygne que Dieu n'a pas faite ! Le voici arraché jusqu'aux racines, ce tenace amour de vous-même !

Paul Claudel

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