Citation de Paul La Cour

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Choisir, c'est sans cesse rejeter celui que tu es, pour celui que tu pourrais être. C'est l'esprit d'aventure.... - Paul La Cour

Choisir, c'est sans cesse rejeter celui que tu es, pour celui que tu pourrais être. C'est l'esprit d'aventure.

Paul La Cour

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Mieux vaut vivre à deux que solitaire ; il y a pour les deux un bon salaire dans leur travail.

Bible

Le vieux libraire m'avait toujours répété que les livres avaient une âme, l'âme de celui qui les avait écrits et de ceux qui les avaient lus et avaient rêvé avec eux.

Carlos Ruiz Zafón

Chacun trouve ses propres oeuvres belles.

Cicéron

Ô quels troubles l'homme dissimule-t'il en lui-même, bien qu'il ait l'apparence d'un ange ?

Dean Koontz

L'argent va et vient. Tu peux l'accumuler, il continue d'être ce qu'il est : un monceau de sable. On ne bâtit rien sur du sable.

Gilbert Sinoué

La lecture démultiplie notre réalité forcément limitée, et nous permet de pénétrer les époques éloignées, les coutumes étrangères, les coeurs, les esprits, les motivations humaines, etc.

Jacques Bonnet

L'ignorance et la superstition ont toujours un rapport étroit et même mathématique entre elles.

James Fenimore Cooper

C'est une heure d'éternité, l'heure théâtrale !

Jean Giraudoux

Toutes les familles heureuses se ressemblent. Chaque famille malheureuse, au contraire, l'est à sa façon.

Léon Tolstoï

Les enfants ont parfaitement compris que nous cessons d'exister lorsque nous fermons les yeux. Adultes, nous n'assimilons que ce que nous voyons dans le rétroviseur.

Natasha Illum Berg

Dire aux gens ce qu'il faut lire est en général inutile ou nuisible, car la véritable appréciation de la littérature est une question de tempérament et ne s'enseigne pas.

Oscar Wilde

Le monde est de deux sortes : celui dont nous rêvons, et celui qui est réel.

Paulo Coelho

L'océan c'est la turbulence, c'est aussi l'interminable, l'inintelligible, l'inattaquable. Une pureté qui gronde. Une immensité qui gouverne. Un horizon qui se déchaîne.

Philippe Besson

Eh oui, monsieur, mais "le temps que l'herbe pousse"... C'est un vieux proverbe un peu moisi.

William Shakespeare

Si mon heure est venue, elle n'est pas à venir ; si elle n'est pas à venir, elle est venue : que ce soit à pour plus tard, soyons prêts. Voilà tout. Risque l'homme n'est pas maître de ce qu'il quitte, qu'importe qu'il le quitte de bonne heure !

William Shakespeare