Citation de Paul Rebeyrolle

Je me demande si je ne pense pas autant à la vie et aux conditions de vie des individus qu'à la peinture.... - Paul Rebeyrolle

Je me demande si je ne pense pas autant à la vie et aux conditions de vie des individus qu'à la peinture.

Paul Rebeyrolle

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Une fâcheuse rencontre a plus d'éloquence que tous les avertissements du monde.

Alexandre Ostrovski

La graine de cèdre, bon gré mal gré, deviendra cèdre. La graine de ronce deviendra ronce. Je refuserai toujours désormais de juger l'homme sur les formules qui justifient ses décisions.

Antoine de Saint-Exupéry

Si tu n'as jamais marché sur les pieds de quelqu'un, tu n'es jamais aller te promener.

Barbara Kingsolver

Ferme la à tout jamais !

Dieudonné

Chaque homme à besoin d'une sphère légitime de répression où il lui soit loisible de mépriser, de dédaigner, et d'exalter son orgueil par-delà les mers.

Elias Canetti

Un homme ennuyeux est un homme incapable de s'ennuyer.

Emil Cioran

Et l'amour, servant notre fantaisie, Fera ce jour-là l'été plus charmant ; Je serai poète, et toi poésie. Tu seras plus belle, et moi plus aimant.

François Coppée

Je pardonne facilement à ceulx, qui s'opiniastrent à soustenir que Numa et Pythagoras ayent hanté et communiqué ensemble.

Jacques Amyot

Parachutisme : Pratique sportive dont l'apprentissage doit être progressif, et qui doit donc commencer sans parachute

Marc Escayrol

Et il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage, l'instant où l'horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses.

Milan Kundera

Ne blâme pas Dieu d'avoir créé le tigre, remercie-le plutôt de ne pas lui avoir donné des ailes.

Proverbe Éthiopien

Bien mérite d'aller à pied Qui ne prend soin de son cheval.

Proverbe Français

Ce qu'on est incapable de changer, il faut au moins le décrire.

Rainer Werner Fassbinder

On a dans l'âme une tendresse. Où tremblent toutes les douleurs, Et c'est parfois une caresse. Qui trouble, et fait germer les pleurs.

Sully Prudhomme

Ce n'était plus un effort de sa mémoire, un mirage de sa pensée, c'étaient de vrais gendarmes et de vrais juges, une vraie foule et de vrais hommes en chair et en os.

Victor Hugo