Citation de Paul Valéry

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Deux hommes se disputaient. Les épithètes s'échangeaient si vivement et promptement que l'on ne savait plus qui donnait, qui recevait.... - Paul Valéry

Deux hommes se disputaient. Les épithètes s'échangeaient si vivement et promptement que l'on ne savait plus qui donnait, qui recevait.

Paul Valéry

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L'amertume des regrets ne se résumera qu'à la douceur des souvenirs.

Albert-Jean Després

Il nous est tombé sur la tête Le droit de vote, un beau matin, Et les hommes ont trouvé bête De nous entendre dire : Enfin !

Anne-Marie Carrière

La beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, la figure qu'elle affiche ou la manière dont elle se coiffe les cheveux. La beauté d'une femme se voit dans ses yeux car ils sont la porte de son coeur, l'endroit où réside son amour.

Audrey Hepburn

Les mots diversement rangés font un divers sens, et les sens diversement rangés font différents effets.

Blaise Pascal

La notion de contre-pouvoir, parfaite utopie algérienne, n'aura finalement eu comme fonction que de poser une équation fondamentale : si le Président se trompe, tout le monde se trompera avec lui. Pourquoi ne se tromperait-il pas ?

Chawki Amari

Pour être "artiste", il faut probablement s'aimer avant d'aimer les autres

Ettore Scola

La mort ne nous livre pas seulement aux vers, mais aussi aux hommes, ils rongent une mémoire, ils la décomposent.

François Mauriac

Il est des bonheurs qui sont trop rares pour qu'on les partage.

Fredric Brown

Il regarda l'eau, onduleuse et gonflée avec des fluorescences d'opale.

Jean-Paul Sartre

Colomb a découvert le piment mais le piment a découvert mon colon !

Max Amphoux

La drogue, c'est une catastrophe. Y'en a plus.

Patrick Timsit

Nous entrons dans l'avenir à reculons.

Paul Valéry

Notons que si les premiers seront les derniers, et que les derniers seront les premiers, ça ne change strictement rien pour ceux qui sont au milieu.

Philippe Geluck

Contre forts et contre faux, Ne valent ne lettres ne sceaux.

Proverbe Français

Je vois enfin la mer dans sa triple harmonie, la mer qui tranche de son croissant la dynastie des douleurs absurdes, la grande volière sauvage, la mer crédule comme un liseron.

René Char