Citation de Paul Valéry

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Quelques merveilles sur la mer. Quelques autres, sans doute, sont par le fond, et attendent, cuirassées de moules, le temps que la mer s... - Paul Valéry

Quelques merveilles sur la mer. Quelques autres, sans doute, sont par le fond, et attendent, cuirassées de moules, le temps que la mer se dessèche.

Paul Valéry

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Périsse plutôt ma mémoire. Et mon beau rêve ambitieux ! Mon génie était dans ta gloire ; Mon courage était dans tes yeux.

Alfred de Musset

L'amour c'est comme un orage, ça commence par un coup de foudre et ça se finit par des inondations

Anonyme

Cette nuit de vol et ses cent mille étoiles, cette sérénité, cette souveraineté de quelques heures, l'argent ne les achète pas.

Antoine de Saint-Exupéry

Qui applaudit ne manie rien. Trop de louanges ne mènent à rien.

Charles de Leusse

Nous côtoyons des anges tous les jours sans le savoir.

Frédéric Beigbeder

Aidons les vaches à ruminer, dit le bienveillant, posant sa fourchette un instant.

Henri Michaux

Je fus informé, avant que le vocable eût un sens pour moi, que ma mère était une "grue". C'est étrange à penser, que mon père n'a sans doute jamais su mon existence.

Iris Murdoch

Carl fit une grimace et ferma les yeux. Le silence peut être une vertu, l'omerta est un vice. Un sacré putain de vice.

Jussi Adler-Olsen

La femme a des sexes un peu partout. Elle jouit d'un peu partout.

Luce Irigaray

Il est plus facile de passer par le chas d'une aiguille que par la chatte d'une aigrie

Marc Escayrol

Mon médecin m'a recommandé d'arrêter les petits dîners pour quatre. A moins qu'il n'y ait trois autres personnes.

Orson Welles

L'amour grandit quand on a un trop-plein d'énergie, il s'évanouit quand on doit utiliser cette énergie pour survivre, pour satisfaire la faim, le sommeil, le besoin de sécurité.

Peter Høeg

Nulle chose n'est compréhensible que par son histoire.

Pierre Teilhard de Chardin

Elections pièges à cons.

Slogan de Mai 68

... cette lumière paisible et mélancolique qui ne permet plus de deviner, mais tout juste de reconnaître.

Stefan Zweig