Citation de Percy Barnevik

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Dessiner une belle matrice est simple. La faire fonctionner demande des milliers d'heures d'explication.... - Percy Barnevik

Dessiner une belle matrice est simple. La faire fonctionner demande des milliers d'heures d'explication.

Percy Barnevik

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Compter les instants qui se succèdent, c'est les vider de leur substance.

Albert Jacquard

Si l'homme est véritablement le roi de la création, le chien peut, sans être taxé d'exagération, en passer pour le baron, tout au moins.

Alphonse Allais

Bataille : Manière de défaire avec les dents un noeud politique qui ne veut pas céder avec la langue.

Ambrose Bierce

Il y a d'admirables possibilités dans chaque être. Persuade-toi de ta force et de ta jeunesse. Sache te redire sans cesse : Il ne tient qu'à moi.

André Gide

- Vous aimez les femmes jalouses ou les autres ? - Quelles autres ?

Anonyme

Un héros c'est un homme qui accomplit avec dévouement et détermination, courage et compétence, les tâches que son époque impose à tous.

Bruno Samson

... le génie du regret.

Emil Cioran

À défaut de maîtriser ma vie, je m'inventais des mondes lumineux, délestés des angoisses qui me rongeaient.

Guillaume Musso

Les antiquités : sont toujours de fabrication moderne.

Gustave Flaubert

C'est vrai qu'il est regrettable que tu sois marié mais puisque tu n'aimes pas ta femme, je sais au moins que mon bonheur ne détruit celui de personne.

Italo Svevo

Tout ce qui se prouve est vulgaire, agir sans preuve exige un acte de foi.

Jean Cocteau

Les partisans de la boxe française répètent qu'elle est plus efficace que la boxe anglaise.

Jean Prévost

Très instruit, très pratique, "très débrouillard" pour employer un mot de la langue militaire française, c'était un tempérament superbe.

Jules Verne

N'allume pas la lampe de jour, si tu veux qu'elle dure toute la nuit.

Proverbe Indien

Les hommes couraient après un but et n'arrivaient pas à l'atteindre, tombaient amoureux et n'arrivaient pas à aimer, se rendaient quelque part et se plaignaient du voyage, voyaient le temps filer et craignaient de mourir avant d'être vieux, vieillissaient quand même et vivaient dans l'obsession de leur fin prochaine.

Yann Apperry