Citation de Pétrarque

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Nid des trahisons où se couve aujourd'hui tout le mal qui peut se tramer dans le monde. Esclave du vin, des lits et de la bonne chère, che... - Pétrarque

Nid des trahisons où se couve aujourd'hui tout le mal qui peut se tramer dans le monde. Esclave du vin, des lits et de la bonne chère, chez qui la luxure est arrivée à son dernier degré.

Pétrarque

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Pourquoi les architectes ne songent-ils pas, pour diminuer la fatigue, à limiter la hauteur des marches au fur et à mesure qu'on monte un escalier ?

Albert Willemetz

Une civilisation se construit par l'apport successif de générations prenant appui l'une sur l'autre comme les pierres d'un édifice.

André Frossard

Les chevaux sont tout sang, nerfs, attente, ils vont vivre un vrai morceau de vie

Christine de Rivoyre

Démosthène : Ne prononçait pas de discours sans avoir un galet dans la bouche.

Gustave Flaubert

Les gitans jugent avec raison que l'on n'a jamais à dire la vérité ailleurs que dans sa langue ; dans celle de l'ennemi, le mensonge suffit.

Guy Debord

... rien n'est plus rare que le discernement dans la négation.

Jean Rostand

Faites en sorte que l'enfant que vous étiez n'ait pas à rougir de l'adulte que vous êtes aujourd'hui.

Jesùs Hermida

On ne demande pas à quelqu'un qui se noie s'il a envie d'être secouru : on se jette à l'eau.

Joseph O'Connor

L'arbre est un animal paralysé.

Jules Renard

Il avait demandé un coup de main là-haut, au réveil, à l'heure où le Ciel et la Terre se mélangent, où l'on rêve, éveillé, à l'adresse des anges.

Katherine Pancol

L'inconscience n'oublie jamais.

Nathacha Appanah

L'abolitionnisme est une mesure prise pour éviter qu'un crime ne fasse pas chaque fois deux morts au minimum.

Philippe Bouvard

Seul l'amour permet de rejoindre la blessure de celui qui souffre pour atteindre la racine de son mal.

Pierre Trépanier

Parmi les heureux de la terre, ne considérez personne comme favorisé par le sort avant qu'il ne soit mort.

Solon

Une duègne, affreuse compagnonne - Dont la barbe fleurit et dont le nez trognonne.

Victor Hugo