Citation de Philip Sidney

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Viens, Sommeil, ô Sommeil, noeud certain de la paix, Etape de l'esprit, baume de l'affliction, Opulence du pauvre, liberté du captif,... - Philip Sidney

Viens, Sommeil, ô Sommeil, noeud certain de la paix, Etape de l'esprit, baume de l'affliction, Opulence du pauvre, liberté du captif, Juge impartial entre grands et petits.

Philip Sidney

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Il n'y a point de maître d'armes mélancolique.

Alfred de Musset

Le soi est à une distance nulle et infinie des choses.

Edmund Husserl

Quand cette guerre se terminera, une autre, bien plus longue et grande, commencera : la guerre que je vais lancer contre les Etats-Unis. Ceci va être mon véritable destin.

Fidel Castro

L'homme de génie est insupportable quand il ne possède pas, en outre, deux qualités au moins : la reconnaissance et la propreté.

Friedrich Nietzsche

Avoir un don, c'est un peu comme une malchance qui éloigne des autres, qui nous sépare de presque tous.

Gabrielle Roy

Edmond de Goncourt, plutôt méditatif, n'était pas un très étincelant causeur.

Georges Lecomte

La frivolité est encore ce qu'il y a de plus sérieux chez les femmes.

Henri de Régnier

Chasteté. Celle qui la pratique possède une armure d'acier.

John Milton

Maintenant, on apprécie les petits jeunes gens, non parce qu'ils ont du talent, mais parce qu'ils cherchent "le problème de la destinée" !

Jules Renard

Les hommes portent leur coeur dans leur sexe, les femmes portent leur sexe dans leur coeur.

Malcolm de Chazal

Nous ne pouvons peut-être pas donner beaucoup, mais nous pouvons toujours donner la joie qui jaillit dans un coeur qui est en amour avec Dieu.

Mère Teresa

Trente-six positions ! Hélas, pas trente-six sensations nouvelles !

Natalie Clifford Barney

Les hommes ne sont pas les esclaves des dieux ou d'un Dieu ; ils sont les esclaves du temps. C'est le temps, seul, qui est éternel.

Paul Ohl

Ne pile pas ton mil avec une banane trop mûre

Proverbe Africain

Le monde était ici avec toute sa bizarrerie et sa vacuité. Ce n'était pas une peinture, c'est le monde nu, sans cesse à portée de sa main.

Riikka Pulkkinen