Citation de Philippe Bartherotte

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Nous devons aimer les femmes car ce sont elles qui nous mettent au monde et bien souvent elles qui nous en sauvent.... - Philippe Bartherotte

Nous devons aimer les femmes car ce sont elles qui nous mettent au monde et bien souvent elles qui nous en sauvent.

Philippe Bartherotte

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Rançon de la gloire, nos enfants ne se baladent plus avec nous. Ils finissent par tenir l'appareil photo !

Alexandra Lamy

Quand Chuck Norris raconte une blague Carambar, tout le monde rigole.

Anonyme

J'étais persuadé que j'y arriverais parce que je faisais ce qu'il fallait pour réussir.

Charles Aznavour

Je n'ai jamais vraiment regardé en arrière.

Diane Keaton

Le corps est la chair de l'esprit. Chaque tourment de l'âme laisse sous la peau une fêlure et dessus, une foulure.

Éric Fottorino

Aucun être humain ne peut réellement en comprendre un autre ; personne ne peut tout arranger pour le bonheur d'un être.

Graham Greene

En tous pays, avant de juger un homme, le monde écoute ce qu'en pense sa femme.

Honoré de Balzac

Une longue maladie semble être placée entre la vie et la mort, afin que la mort même devienne un soulagement et à ceux qui meurent et à ceux qui restent.

Jean de La Bruyère

J'ai vu, monsieur, sur une table de boucher, des cervelles pareilles à la vôtre.

Jules Renard

Parfois, quand les choses sont trop violentes, on les efface de sa mémoire, on ne veut plus se souvenir.

Katherine Pancol

On peut concevoir la chaleur sans le feu et la lumière sans le soleil, mais on ne peut concevoir Dieu sans l'âme ni l'âme sans Dieu, tant ils sont un.

Maître Eckhart

L'instruction ne remplace pas l'éducation alors que l'inverse est possible quand la conversation dure moins d'un quart d'heure.

Philippe Bouvard

Dans une équipe de rugby, il n'y a pas de passagers, il n'y a qu'un équipage.

Pierre Villepreux

Nous faisons le plus souvent ce que la majorité attend que nous fassions.

Sinclair Lewis

En vieillissant, on cherche sa propre jeunesse et on éprouve des joies stupides à partir de petits souvenirs.

Stefan Zweig