Citation de Philippe Bouvard

← Précédent Suivant →
J'aime tellement rire que, aux instants où je suis payé pour divertir les autres, je me trouve dans la situation du cafetier qui bo... - Philippe Bouvard

J'aime tellement rire que, aux instants où je suis payé pour divertir les autres, je me trouve dans la situation du cafetier qui boit son fonds.

Philippe Bouvard

Toutes les citations de Philippe Bouvard →

Explorer les Citations

Respectabilité. Fruit des amours entre un crâne dégarni et une bonne situation bancaire.

Ambrose Bierce

Que ta vision soit à chaque instant nouvelle. Le sage est celui qui s'étonne de tout.

André Gide

On ne photographie pas la physionomie.

Antoine-Auguste Preault

Il vaut mieux aimer qu'être aimé ; d'abord, on choisit.

Diane de Beausacq

Ne point se soumettre à la voix de la raison, alors que pourtant elle nous force d'avouer nos torts, c'est ressembler au coursier indompté refusant d'obéir au frein qui le captive.

Félix Bogaerts

Peu importe que nous ayons de la chance ou pas, nous sommes capables de transformer nos vies par une simple pensée, par un simple acte d'amour.

Gregory David Roberts

Malédiction : Toujours donné par un père.

Gustave Flaubert

Nous appelons les "dernières faveurs" d'une femme ce qu'en premier nous souhaitons d'elle.

Henri de Régnier

L'inachevé n'est rien.

Henri-Frédéric Amiel

On s'aperçoit facilement des fautes contre la prosodie dans une chanson mal parodiée sur un air connu.

Jean Le Rond d'Alembert

Grève des transporteurs : Lionel Jospin a fermement annoncé que les négociations étaient terminées. On va donc pouvoir commencer à discuter...

Laurent Ruquier

Faire du théâtre, c'est se mettre à l'écoute du monde, pour en être la caisse de résonance.

Laurent Terzieff

Une religion parle d'immortalité, mais entend par là quelque chose qui n'exclut pas le néant.

Marcel Proust

Quant aux coupes, aux étoffes de pourpre et autres objets perses sont il s'était emparé, il les envoya presque tous à sa mère.

Plutarque

Fureur et mystère tour à tour le séduisirent et le consumèrent. Puis vint l'année qui acheva son agonie de saxifrage.

René Char