Il y aurait un moyen pour simplifier les successions, supprimer les guerres familiales autour des cercueils et augmenter le chagrin des survivants : autoriser les défunts à emporter tout leur argent dans l'au-delà.
Philippe Bouvard
Vous êtes homme, et je suis femme ; la force est de votre côté.
Alfred de Musset
Le Messager de mort, noir recruteur des ombres...
André Chénier
- Tu fais quoi pour Noël ? - Je prends deux kilos.
Anna Gavalda
Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens.
Arnaud Amalric
On apprend pas aux gens à être en paix. L'éducation a tout faux. Tout le monde veut la plus grosse voiture, le plus gros frigo. C'est dingue, mec.
Bob Marley
On chuchote à l'Assemblée : je me suis mouillé dans une affaire, je suis complètement à sec, j'ai besoin de liquide.
Coluche
Au fond de tout patriotisme, il y a la guerre : voilà pourquoi je ne suis point patriote.
Jules Renard
C'est beau un homme de dos qui attend une femme. C'est fier comme un héros qui, ayant tout donné, n'attend plus qu'un seul geste pour se retourner.
Katherine Pancol
En vérité, je ne me suis toujours pas écroulé. Du moins, pas comme j'aurais aimé le faire, en sanglotant comme un enfant qui comprend que ses parents sont partis. Je me sens comme une huître très fermée. Comme si l'énormité de cette émotion était impossible à faire sortir. Presque trop dangereuse. Il est évident que j'ai un travail à faire là-dessus.
Lambert Wilson
Son grand âge avait affaibli la sonorité de sa voix.
Marcel Proust
Je savais que ces mots tu m'aimes, je t'aime étaient de ceux qui le feraient se rétracter, feraient reculer, se terrer encore plus loin au fond de lui ce qui était enfoui... Et en effet, il y avait de la désapprobation dans sa moue, dans sa voix...
Nathalie Sarraute
Peut-être que les voyages naissent ainsi, à l'écoute d'un nom magique qui résonne longtemps, comme un écho bienveillant.
Olivier Weber
A méchant chien, court lien.
Proverbe Français
Ma faim a tué ma paresse.
Sch
Qu'il est doux, dit la vieille ballade, d'errer parmi les bocages verts, dans les beaux jours de l'aimable mois de mai, quand les oiseaux voltigeant de branche en branche vous y invitent par leur sauvage mélodie.
Walter Scott