Citation de Philippe Bouvard

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Chasse : Quête plus ou moins fébrile d'un animal, d'un mécène ou d'une compagnie.... - Philippe Bouvard

Chasse : Quête plus ou moins fébrile d'un animal, d'un mécène ou d'une compagnie.

Philippe Bouvard

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À l'époque la qualité humaine d'un homme, Howard, son caractère, son humour, sa gentillesse comptaient plus que la marchandise qu'il représentait ! On se sentait unis, tous on faisait des affaires entre nous, oui, mais avant tout on se parlait, on s'aimait.

Arthur Miller

Le modèle actuel est le suicide global. Nous avons besoin d'une révolution. La pensée révolutionnaire. Action révolutionnaire. Les ressources naturelles sont de plus en plus rares.

Ban Ki-moon

La résistance est futile, vous serez assimilés.

Bill Gates

La vieillesse est l'hôtel des Invalides.

Charles Dollfus

Lorsque tu te réveilleras en pleurant six fois dans la nuit, je te consolerai dans mes bras trois fois et papa prendra la suite quand je me mettrai moi-même à pleurer.

Elizabeth Crane

Un esprit de détail s'applique avec de l'ordre et de la règle à toutes les particularités du sujet.

François de La Rochefoucauld

Avec lui, la vie était banale, sans lui, elle devenait insupportable. J'en eus le cafard pendant deux jours.

Harper Lee

Celui qui ne connaît pas sa propre valeur est voué à l'échec.

Hazrat Ali

Si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.

Jean-Jacques Rousseau

Gogol, le Molière russe, a dit quelque part - mais où ? : La véritable muse de la comédie est une femme dont les larmes coulent sous un masque souriant. Parole merveilleuse !

Leopold von Sacher-Masoch

Il y aura toujours des hommes de bonne volonté sur terre, dans tous les pays, et même dans le nôtre.

Nelson Mandela

Bon ouvrier se sert de tous outils.

Proverbe Français

Parole dans le coeur n'a pas d'ennemi.

Proverbe Guadeloupéen

Je crois qu'une femme, c'est absolument le contraire d'un homme.

Sophie Marceau

Je songeais au début de l'hiver en montagne, au silence absolu et au vœu que je formulais toujours étant enfant, de voir la neige recouvrir tout, le village et la vallée et les plus hauts sommets, m'imaginant alors ce qui se passerait quand au printemps, le dégel venu, nous sortirions des glaces.

W. G. Sebald