Citation de Philippe Bouvard

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Il faut être vraiment attardé pour s'obstiner à croire aux vertus du travail dans une société où l'effort non sportif a perdu toute... - Philippe Bouvard

Il faut être vraiment attardé pour s'obstiner à croire aux vertus du travail dans une société où l'effort non sportif a perdu toute noblesse.

Philippe Bouvard

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Les jeunes filles sont toujours fort curieuses d'apprendre ce que leurs mamans ont voulu ne pas ignorer.

Adolphe Ricard

Qui peut décider d'une place idéale pour des mots brûlants d'amour ? L'amour se niche n'importe où.

Annie Saumont

Le même mal vient, ou de Dieu qui nous éprouve, ou du diable qui nous tente.

Denis Diderot

Dieu est la meilleure plaisanterie de Dieu lui-même.

Fernando Pessoa

Et qu'est-ce que l'enfer ... si ce n'est qu'une vengeance éternelle pour quelques fautes d'un jour !

Honoré de Balzac

Ici, les hommes ne font pas de beaux vieillards. Ils font de vieux os.

Jean Giono

Il y a des mariages qui sont des enterrements.

Jean-Paul Sartre

Il y a bien de l'apparence. Pourquoi, s'écrierait un critique, ne pas dire que l'esprit est souvent trompé par le coeur, que le coeur en fait accroire à l'esprit ?

Marivaux

La politique ressemble à un match de football. Le gouverneur est l'entraîneur qui distribue les places et les leaders de son parti au Sénat et au Congrès sont les stratèges à l'arrière.

Mary Higgins Clark

L'avantage, c'est qu'aujourd'hui les livres ont si peu de poids, sont si peu vendus, si peu lus que ce n'est même plus la peine de les interdire.

Mathias Énard

La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l'a fondée.

Montesquieu

Il n'y a rien de plus glamour pour moi qu'un magasin de disques.

Paul McCartney

Ma mort était ma gloire, et le destin m'en prive...

Pierre Corneille

L'oeil superficiel, l'oreille profonde et inventive. Le sifflement d'une locomotive imprime en nous la vision de toute une gare.

Robert Bresson

L'oeil de Julien suivait machinalement l'oiseau de proie. Ses mouvements tranquilles et puissants le frappaient, il enviait cette force, il enviait cet isolement. C'était la destinée de Napoléon, serait-ce un jour la sienne ?

Stendhal