Citation de Philippe Claudel

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L'homme est un animal qui toujours recommence. Mais que recommence-t-il sans cesse ? Ses erreurs, ou la construction de ses fr... - Philippe Claudel

L'homme est un animal qui toujours recommence. Mais que recommence-t-il sans cesse ? Ses erreurs, ou la construction de ses fragiles échafaudages qui parviennent parfois à le hisser à deux doigts du ciel ?

Philippe Claudel

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Il faut en tout cas admettre une vérité dérangeante : on est vieux dans le regard des autres bien avant de l'être dans le sien.

Benoîte Groult

O poulpe, au regard de soie...

Comte de Lautréamont

Les sots se tournent vers les avantages de la fortune ; ceux qui les connaissent vers les avantages de la sagesse.

Démocrite

Les mamelles de la Femme sont plus fécondes que la vigne, plus pleines de délices que le raisin mûr, plus enivrantes d'amour que le vin le plus délicat et le plus parfumé.

Éliphas Lévi

Terrible est la punition de ceux qui transgressent la Loi. Nul n'échappe.

H. G. Wells

Il y a plus d'idées dans deux têtes que dans une.

Jacques Chirac

Notre Voltaire condamne les sottises des fanatismes, mais il aime Dieu. Il pense également que si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer.

Jacques-Pierre Amette

Sans ma famille, je ne serais rien.

Jennifer Lawrence

L'art est un appel auquel il y en a trop qui répondent sans avoir été appelés.

L. Langanesi

On a tort de parler en amour de mauvais choix, puisque dès qu'il y a choix il ne peut être que mauvais.

Marcel Proust

Les corneilles perchent volontiers en troupe.

Proverbe Allemand

Avant que la corneille ait atteint la pêrdrix, elle aura oublié son chemin.

Proverbe Turc

Dieu nous a placés dans ce monde merveilleux pour y être heureux et jouir de la vie.

Robert Baden-Powell

La prose et le vers ne sont que des matières dont se sert le poète, fondeur et ciseleur, pour faire les figures de ses idées. Le vers, c'est le marbre ; la prose, c'est l'airain.

Victor Hugo

Remarquez que les temps les plus superstitieux ont toujours été ceux des plus horribles crimes.

Voltaire