Citation de Philippe Geluck

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Dans ce monde égoïste qui est le nôtre, on se demande parfois si on ne devrait pas se déguiser en miroir pour que les autres nous ac... - Philippe Geluck

Dans ce monde égoïste qui est le nôtre, on se demande parfois si on ne devrait pas se déguiser en miroir pour que les autres nous accordent un regard.

Philippe Geluck

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Il se résigne, il prie ; il se recueille, il pense A celui qui soutient les pôles et balance L'équateur hérissé de longs méridiens.

Alfred de Vigny

Feuilles vertes de ton travail, fleurs blanches de ta pensée, et fruit rouge de ta mort.

Algernon Swinburne

La compréhension uniquement par le langage est très aléatoire. Le langage corporel des émotions est le langage essentiel.

Bernard Giraudeau

Que le coeur de l'homme est creux et plein d'ordure !

Blaise Pascal

Une jeune comédienne, très prétentieuse, demande à un célèbre critique, dans quelle pièce pourrait-elle exprimer tout son talent ? Celui-ci s'empresse de lui répondre : votre chambre ou la mienne.

Damien Caillaud

Un jour j'ai bu tellement d'eau que j'ai fait un coma hydraulique.

Gad Elmaleh

Rien n'est permanent, sauf le changement. Seul le changement est éternel.

Héraclite

Rien de ce que j'ai vécu ne pourra me consoler de cette certitude d'y passer un jour.

Jacques Sternberg

Notre siècle, j'en conviens encore avec Votre Majesté, ne vaut pas le siècle de Louis XIV pour le génie et pour le goût ; mais il me semble qu'il l'emporte pour les lumières, pour l'horreur de la superstition et du fanatisme.

Jean Le Rond d'Alembert

Tandis que les nouveaux admirateurs nous lisent, les anciens nous oublient.

Jules Renard

C'est toujours quand on est pour une équipe que c'est l'autre qui gagne.

Loi de Murphy

Quand on a l'essieu plus gros que le ventre, il vaut mieux avoir les moyeux

Marc Escayrol

Baba, pour ton sourire, j'donnerais ma vie, et p't-être même ma place au paradis.

N.O.S

Elle poursuivait simplement son récit ; et une merveilleuse exaltation intérieure la transfigurait.

Roger Martin du Gard

Marie et Geneviève grandissent, et sont étonnamment diables.

Stéphane Mallarmé