L'humain n'aime pas son corps. Il l'adore éventuellement, mais il ne l'aime pas. Et comme il est censé aimer son prochain comme lui-même, s'il n'aime pas son propre corps, il n'aime pas non plus celui de son prochain. Nous voyons ici apparaître le mal souhaité au prochain. Ou comme j'aime dire : on fait de son proche un reproche. L'évangile moderne est : tu détesteras ton prochain comme toi-même.