Citation de Pierre Benoit

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N'aie crainte ! Le corps meurt, mais quelque chose reste. Il nous faut espérer. Dieu n'est pas un vain mot.... - Pierre Benoit

N'aie crainte ! Le corps meurt, mais quelque chose reste. Il nous faut espérer. Dieu n'est pas un vain mot.

Pierre Benoit

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Vivre, c'est apprendre à aimer.

Abbé Pierre

Je vais te montrer la 1ère lampe de poche à énergie solaire !... Il ne me reste plus qu'un tout petit problème à résoudre : elle ne fonctionne qu'en plein soleil.

André Franquin

L'écrivain est une sorte de voyant émerveillé.

André Pieyre de Mandiargues

Deux augures ne peuvent se regarder sans rire.

Cicéron

Le scepticisme commence quand, assis dans une église entre un flic et une bonne soeur, vous constatez que votre portefeuille a disparu.

Colin Bowles

La science est un train que le mécanicien ne peut arrêter.

Frédéric Dard

Triste, on hait le joyeux ; folâtre, on hait le triste.

Horace

Sa femme était une personne de près de soixante ans, extrêmement grande, extrêmement forte, extrêmement nulle, d'une majesté incessante, qui pouvait avoir été admirable, mais on n'y pensait pas, et seulement à son extrême ennui.

Marcel Proust

Devons-nous, en bonne justice, en vouloir à l'endroit qui nous a reçu dans notre chute ou bien à la souche contre laquelle nous avons butté ?

Massa Makan Diabaté

La décadence d'une littérature commence quand ses lecteurs ne savent pas écrire.

Nicolás Gómez Dávila

Souvent qui tarde trop se laisse prévenir.

Pierre Corneille

La parole soulève plus de terre que le fossoyeur ne le peut.

René Char

C'est une maison de fous, de barjos tout ce qu'il y a de siphonnés.

René Fallet

La chair à canon, embarquée en août et septembre toute gorgée de patriotisme, pourrit maintenant en Belgique, dans les Vosges, en Masurie, dans des cimetières où l'on voit les bénéfices de guerre pousser dru.

Rosa Luxemburg

Etre à présent un homme sensé, tout à l'heure un fou, et bientôt une brute ! Oh ! étrange ! Chaque coupe de trop est maudite et a pour ingrédient un démon.

William Shakespeare